Alexandre Dumas (père)
![]() |
Né(e) le 24/07/1802 Mort(e) le 05/12/1870 France |
Afficher sa biographie |
Alexandre Dumas, (dit aussi Alexandre Dumas père) est un écrivain français né le 24 juillet 1802 (5 thermidor an X) à Villers-Cotterêts (Aisne) et mort le 5 décembre 1870 à Puys, près de Dieppe (Seine-Maritime). Il est le fils de Thomas Alexandre Davy de la Pailleterie, dit le général Dumas, mulâtre de Saint-Domingue, premier général ayant des origines afro-antillaises de l'armée française, et le père de l'écrivain Alexandre Dumas (1824-1895) dit Dumas fils, auteur en particulier de La Dame aux camélias. |
Afficher ses oeuvres |
Ange Pitou |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Écrit en collaboration avec Auguste Maquet et paru sous forme de feuilleton dans La Presse en 1850 et 1851, ce roman est la troisième partie d'une série intitulée Mémoires d'un médecin, dont la première partie est intitulée Joseph Balsamo et qui se poursuit avec Le Collier de la reine, Ange Pitou et La Comtesse de Charny. Le roman se situe à l'époque de la Révolution française, le récit commençant « un jeudi de juillet 1789 », quelques jours avant la prise de la Bastille. |
Antony |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Antony est un drame en cinq actes écrit en prose par Alexandre Dumas, dont la première eut lieu à la Porte Saint-Martin le 3 mai 1831. « Antony n'est point un drame, Antony n'est point une tragédie, Antony n'est point une pièce de théâtre, Antony est une scène d'amour, de jalousie, de colère, en cinq actes » : ainsi Dumas qualifiait-il cette création autobiographique. Sa passion pour Mélanie Waldor, débutée en septembre 1827, a amplement inspiré Antony. |
Conscience l'innocent |
Afficher les citations de cette oeuvre |
En 1810, dans le petit village d'Haramont, près de Villers-Cotterêts, deux familles se soutiennent pour faire face à la dureté de la vie paysanne. D'un côté la famille Cadet composée du grand-père, de la belle-fille et du petit-fils Conscience que l'on appelle « l'innocent » du fait de sa grande franchise et de sa grande douceur, que ce soit envers les hommes ou les animaux.De l'autre coté une jeune fille Mariette, sa mère et son petit frère... |
Hamlet, prince de Danemark |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le drame d'Hamlet, nous parlons de l'Hamlet de Shakspeare eut un succès immense; le théâtre anglais commence, en 1588, à Hamlet, comme, quarante-huit ans plus tard, le Théâtre Français commence au Cid. Il n'entre point dans le plan de cet opuscule de faire l'analyse de la pièce de Shakspeare. Notre traduction, telle qu'on la représente aujourd'hui, rapprochée du texte anglais, par Paul Meurice, en donne une idée assez exacte. Ce fut à moi que l'idée vint, en partant pour l'Italie, vers 1840, de proposer à Paul Meurice de traduire Hamlet à nous deux. Je m'engageais à le faire jouer un jour ou l'autre sur une scène quelconque; je lui indiquais tout de suite, afin qu'il ne fit pas une besogne inutile, des changements que je comptais faire au texte original. J'habitais Saint Germain; je louai le petit théâtre de cette ville pour mon plaisir particulier; c'était cette époque de luxe que l'on m'a tant reprochée et que l'on m'a fait payer si cher. - Mme Person et Rouvière reçurent les principaux rôles, ceux d'Hamlet et d'Ophélie, et les apprirent. Les autres furent distribués aux artistes que je trouvai sous ma main et qui eurent la complaisance de s'en charger; puis, un beau soir, après diner, je conduisis mes convives, pour qui j'avais retenu toutes les loges et les galeries, au spectacle. Je leur fis jouer Hamlet, je leur donnai à souper à eux et aux artistes, et je renvoyai tout le monde, à trois heures du matin, par un train spécial. Hamlet, malgré le pronostic de mon homme d'affaires, que je ne jugeai pas à propos d'inviter à cette fête, eut le plus grand succès. Il fut joué quinze fois à Saint Germain, et ne me laissa que 3000 francs de perte sur mon souper, ma location de salle, mes décorations et mon train spécial. |
Joseph Balsamo |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Joseph Balsamo est un roman d'Alexandre Dumas, inspiré de la vie et de la personnalité du comte de Cagliostro. C'est la première partie d'une série intitulée « Mémoires d'un médecin » qui se poursuit avec Le Collier de la reine, Ange Pitou et La Comtesse de Charny. Il fut écrit en collaboration avec Auguste Maquet et parut sous forme de feuilleton dans La Presse entre 1846 et 1849. L'action du roman se situe à la fin du règne de Louis XV, de 1770 à 1774. |
La comtesse de Charny |
Afficher les citations de cette oeuvre |
La Comtesse de Charny, roman écrit par Alexandre Dumas en 1853 fait suite d'une certaine façon au roman Ange Pitou, prenant sa place dans les Mémoires d'un médecin. En effet, comme l'explique Alexandre Dumas dans son avant-propos au premier tome de la Comtesse de Charny, Ange Pitou devait à l'origine comporter six tomes, mais à la demande d'Émile Girardin il fut réduit à un tome. Ce roman fut inachevé, ce qui explique sa fin étrange. |
La fille du marquis |
Afficher les citations de cette oeuvre |
La reine Margot |
Afficher les citations de cette oeuvre |
La Reine Margot est un roman écrit par Alexandre Dumas. Sorti en 1845, il a été publié initialement dans le quotidien La Presse en roman-feuilleton entre le 25 décembre 1844 et le 5 avril 1845. Alexandre Dumas en a tiré un drame du même nom, représenté en 1847. Deux romans font suite à La Reine Margot : La Dame de Monsoreau et Les Quarante-cinq, formant ainsi ce qu'on appelle parfois la « trilogie des Valois ». |
Le chevalier d'Harmental |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le Chevalier d’Harmental est un roman historique d'Alexandre Dumas, publié en 1842, dans la revue Le Siècle. Le roman, écrit en collaboration avec Auguste Maquet, met en scène la conspiration d'une partie de la noblesse contre le régent de France Philippe d'Orléans. |
Le collier de la reine |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le Collier de la reine est un roman d'Alexandre Dumas, paru dans la presse en 1849 et 1850 (entre les deux la Révolution de 1848), librement inspiré de l'affaire du collier de la reine, escroquerie qui défraya la chronique politique et judiciaire à la cour de Louis XVI dans les années 1780. |
Le comte de Monte-Cristo |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le Comte de Monte-Cristo est un roman d’Alexandre Dumas, écrit avec la collaboration d’Auguste Maquet et achevé en 1844. Il est partiellement inspiré de faits réels, très lointainement empruntés à la vie de Pierre Picaud. C'est l’histoire d’un jeune homme accusé faussement de bonapartisme durant la première Restauration et emprisonné sans jugement pendant quatorze ans. Évadé et devenu très riche après avoir trouvé un trésor, il entreprend de retrouver ceux qui ont œuvré à son arrestation et de se venger, s'ils ne se repentent pas. Le roman est l’une des œuvres les plus connues de l’écrivain, avec les Trois Mousquetaires, autant en France qu’à l’étranger. Il a d’abord été publié en feuilleton dans le Journal des débats du 28 août au 26 novembre 1844 (1re partie), puis du 20 juin 1845 au 15 janvier 1846 (2e partie). |
Le docteur mystérieux |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le meneur de loup |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le vicomte de Bragelonne |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Le Vicomte de Bragelonne est un roman français, faisant suite aux Trois Mousquetaires et Vingt Ans après et constituant le dernier volet de la trilogie des Mousquetaires. Il fut publié de 1847 à 1850 par Alexandre Dumas et la collaboration d'Auguste Maquet, d'abord dans le journal Le Siècle, sous le titre Les Mousquetaires, trilogie, indiquant que « Le Siècle a commencé le 20 octobre la publication de la troisième et dernière partie, Le Vicomte de Bragelonne ». Le roman dépeint la cour du jeune Louis XIV et propose une solution très romanesque au mystère de l'homme au masque de fer. Bien que n'occupant qu'une partie du roman, c'est ce dernier épisode qui en est le plus connu, et a donné lieu à la plupart des adaptations tirées du livre. Le personnage qui donne son titre au roman est Raoul de Bragelonne, fils naturel du mousquetaire Athos. |
Les confessions de la marquise |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Mémoires d'une aveugle |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Sylvandire |
Afficher les citations de cette oeuvre |
Sylvandire suit les premiers pas d’un jeune noble provincial nommé Roger d’Anguilhem. À l’âge de quinze ans, il tombe amoureux d’une beauté locale de trois ans sa cadette, mais se voit éconduit par la famille de sa belle. Il part chercher fortune à Paris, où il se retrouve impliqué dans des intrigues, des duels et d’autres amours. |