Auto-psy d'un bon vivant
Année de parution : 2003 Le diariste, selon Philippe Bouvard, est un oiseau de proie. Le prédateur en question a pour pâture tout ce qui passe à sa portée : « un film, un livre, une joie, une douleur, une confidence, un bon mot sur quelqu'un qu'il hait, une méchanceté sur quelqu'un qu'il aime. » Dans cet ouvrage, Philippe Bouvard distille ses « poisons » avec un évident bonheur ; bonheur qui peut devenir d'une véritable danse du scalp autour de ses victimes. Dans cet art-là, l'auteur est passé orfèvre. |